La monade est à la fois la toile et les traits qui la composent. Elle incarne le corps comme multitude. La répétition du geste façonne une peau animée de vibrations. Les traces du dessous se superposent à celles du dessus : elles créent un décalage, ouvrent à la respiration.
Partant de l’envers de la toile,
le rythme crée une pulsation qui traverse l’air jusqu’au corps.